Conjoncture de l’emploi et du chômage au 2e trimestre 2015
- 16 octobre 2015
- Dares Analyses N°076
Au 2e trimestre 2015, l’activité économique française est stable après une progression de 0,7 % au trimestre précédent.
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Au 2e trimestre 2015, l’activité économique française est stable après une progression de 0,7 % au trimestre précédent.
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 2 780 500 en France métropolitaine fin septembre 2011. Ce nombre est en hausse par rapport à la fin août 2011 (+0,9 %, soit +26 000). Sur un an, il croît de 3,0 %.
En 2009, 56 % des jeunes âgés de 15 à 29 ans sont actifs, après 55 % en 2008 : 47 % occupent un emploi et plus de 9 % sont au chômage. Parmi les actifs de cette classe d’âge, le taux de chômage atteint 17 %.
En France, la croissance économique du premier semestre a été inférieure aux prévisions : après un rebond en début d'année, le PIB enregistre une baisse de -0,3 % au deuxième trimestre 2003.
Début 2002, la dégradation du contexte macroéconomique amorcée en 2001 influe fortement sur les anticipations des ménages quant à l'évolution du marché du travail et sur leur jugement, désormais plus pessimiste, à l'égard des politiques de l'emploi.
En repli par rapport aux trimestres passés, la création d’emplois demeure élevée au deuxième trimestre 2001 (+65 000).
La croissance de l’emploi est restée vigoureuse au deuxième trimestre 2000, quoiqu’en retrait par rapport au trimestre précédent : 120 000 emplois ont été créés au total, dont 110 000 dans les secteurs concurrentiels non agricoles.
La création d’emplois s’est poursuivie à un rythme vigoureux durant le deuxième trimestre de 1999.
Le " modèle français " est actuellement celui d'une division du travail entre générations, où la collectivité prend en charge les jeunes et les travailleurs âgés lorsqu'ils sont exclus du système productif.
Dans l'ensemble, l'opinion attache une grande importante à l'action des pouvoirs publics pour lutter contre le chômage, mais 77 % des personnes interrogées pensent que les mesures mises en oeuvre sont peu ou pas du tout efficaces. Seuls 21 % les jugent " assez efficaces ".