Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail
- 20 mai 2022
- Annuelles
- Nationales
Ces séries présentent un suivi des dépenses générales, ciblées et à la lisière des politiques d’emploi.
18 résultats
Ces séries présentent un suivi des dépenses générales, ciblées et à la lisière des politiques d’emploi.
L’objectif de cette nomenclature est de collecter des données sur les dépenses et les bénéficiaires des politiques du marché du travail mises en œuvre par les différents États membres pour lutter contre le chômage.
En 2013, 11 % des salariés adhèrent à une organisation syndicale. Les salariés de la fonction publique sont deux fois plus syndiqués que ceux du secteur marchand et associatif.
L’objectif de cette enquête était de compléter les données disponibles dans les fichiers administratifs pour analyser les trajectoires professionnelles des populations enquêtées et mesurer l’impact du passage en contrats aidés sur celles-ci, ainsi que sur leurs conditions de vie.
Ce rapport s’efforce de rendre compte des effets sur le marché du travail des politiques françaises et des réformes mises en œuvre dans le respect des lignes directrices pour l’emploi révisées en 2003.
Depuis une dizaine d’années, les politiques d’allégements de cotisations sociales employeurs ont pris une place croissante dans les finances sociales et ont même dépassé la part consacrée aux dispositifs spécifiques de politiques de l’emploi.
Dans le secteur privé, les conflits localisés du travail ont fortement diminué en 2002 et 2003.
Depuis la promulgation de la loi du 13 juin 1998 d'incitation à la négociation de la réduction du temps de travail, l'activité conventionnelle des entreprises a connu un développement considérable.
Après deux années consécutives de baisse, la dépense pour la formation professionnelle est en hausse avec 138 milliards de francs en 1996.
La dépense pour l’emploi est estimée pour 1996 à 305 milliards de francs, soit une hausse de 3,4 % en francs constants qui rompt avec l’infléchissement observé depuis deux ans.