Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail
- 20 mai 2022
- Annuelles
- Nationales
Ces séries présentent un suivi des dépenses générales, ciblées et à la lisière des politiques d’emploi.
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Ces séries présentent un suivi des dépenses générales, ciblées et à la lisière des politiques d’emploi.
L’objectif de cette nomenclature est de collecter des données sur les dépenses et les bénéficiaires des politiques du marché du travail mises en œuvre par les différents États membres pour lutter contre le chômage.
Les salariés concernés par cette aide sont ceux percevant au minimum un salaire horaire égal au Smic, hors avantage en nature.
Depuis une dizaine d’années, les politiques d’allégements de cotisations sociales employeurs ont pris une place croissante dans les finances sociales et ont même dépassé la part consacrée aux dispositifs spécifiques de politiques de l’emploi.
Après deux années consécutives de baisse, la dépense pour la formation professionnelle est en hausse avec 138 milliards de francs en 1996.
La dépense pour l’emploi est estimée pour 1996 à 305 milliards de francs, soit une hausse de 3,4 % en francs constants qui rompt avec l’infléchissement observé depuis deux ans.
En 1993, les employeurs du secteur non marchand ont signé 660 000 contrats emploi-solidarité dont 439 000 nouveaux contrats et 221 000 avenants de reconduction, avec principalement des jeunes en difficulté ou des adultes chômeurs de longue durée.
Le fonds départemental pour l'initiative des jeunes a été institué en février 1985. Il a pour objectif d'aider à la mise en oeuvre de projets de création ou de reprise d'activités économiques.
Pour sa première année d'application, cette mesure a rencontré un accueil très favorable, puisque de sa mise en place au 31 décembre 1989 71 000 embauches ont été réalisées. Son impact net est évalué en première analyse à près de 30 000 embauches supplémentaires.