Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail
- 20 mai 2022
- Annuelles
- Nationales
Ces séries présentent un suivi des dépenses générales, ciblées et à la lisière des politiques d’emploi.
12 résultats
Ces séries présentent un suivi des dépenses générales, ciblées et à la lisière des politiques d’emploi.
L’objectif de cette nomenclature est de collecter des données sur les dépenses et les bénéficiaires des politiques du marché du travail mises en œuvre par les différents États membres pour lutter contre le chômage.
Afin de recueillir des informations relatives à l’impact de la crise sanitaire sur les structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE), la Dares a réalisé du 22 avril au 4 mai une enquête flash auprès des structures de l’insertion par l’activité économique (IAE).
Les salariés des ateliers et chantiers d’insertion (ACI) et des entreprises d’insertion (EI), plus éloignés de l’emploi, sont plus souvent accompagnés que ceux des associations intermédiaires (AI) et des entreprises de travail temporaire d’insertion (ETTI).
Depuis une dizaine d’années, les politiques d’allégements de cotisations sociales employeurs ont pris une place croissante dans les finances sociales et ont même dépassé la part consacrée aux dispositifs spécifiques de politiques de l’emploi.
En 2003, près de 8 400 salariés ont été recrutés par des établissements implantés en Zone franche urbaine (ZFU), ce qui représente une progression de 6 % par rapport à 2002.
Après deux années consécutives de baisse, la dépense pour la formation professionnelle est en hausse avec 138 milliards de francs en 1996.
La dépense pour l’emploi est estimée pour 1996 à 305 milliards de francs, soit une hausse de 3,4 % en francs constants qui rompt avec l’infléchissement observé depuis deux ans.
En 1993, les employeurs du secteur non marchand ont signé 660 000 contrats emploi-solidarité dont 439 000 nouveaux contrats et 221 000 avenants de reconduction, avec principalement des jeunes en difficulté ou des adultes chômeurs de longue durée.