La conjoncture régionale
- 14 juin 2018
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16 résultats
En 2013, 127 600 salariés en insertion ont travaillé dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), en moyenne chaque mois.
44 % des personnes embauchées dans les structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE) ont trouvé leur emploi par leurs propres moyens ou par le bouche à oreille.
15 % mettent en avant le besoin d’un soutien financier et matériel visant à lever certains obstacles à la reprise d’emploi.
Entre août 2005 et juin 2008, le « contrat nouvelles embauches » (CNE) a constitué une nouvelle modalité de recrutement pour les entreprises ou associations comptant au plus vingt salariés.
En 2006, 253 000 salariés en insertion ont été embauchés ou mis à disposition par une des 5 300 structures d’insertion par l’activité économique.
Au 31 décembre 2003, 13 % des allocataires du revenu minimum d’insertion et de l’allocation de solidarité spécifique en bénéficiaient.
Le deuxième contrat de progrès signé entre l’État et l’Afpa couvre les années 1999-2003, période où la conjoncture s’est retournée et où le paysage institutionnel s’est profondément transformé.
Le salarié à temps partiel type : une femme employée dans les services.
Les anciens salariés des EI se réinsèrent plus difficilement que ceux des AI ou ETTI, ils sont majoritairement au chômage au sortir de la structure.