Relations professionnelles et négociations d’entreprise (2005)
- 28 février 2012
L’enquête visait à l’analyse de la relation entre salariés et direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social, etc.).
12 résultats
L’enquête visait à l’analyse de la relation entre salariés et direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social, etc.).
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 2 861 700 en France métropolitaine fin janvier 2012. Ce nombre est en hausse par rapport à la fin décembre 2011 (+0,5 %, soit +13 400). Sur un an, il croît de 6,2 %.
Trois niveaux de fixation des salaires coexistent en France : le niveau national avec la revalorisation du Smic par l’État, le niveau des branches avec la négociation des minima conventionnels et celui des entreprises avec la négociation annuelle sur les salaires.
Dans les entreprises de dix salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,3 % au quatrième trimestre 2011 et de 2,3 % sur un an.
Cette étude analyse, à partir du panel Dads, le devenir salarial des jeunes de 18 à 25 ans entrés sur le marché du travail dans le secteur privé entre 1995 et 2002 et rémunérés parmi les plus basses rémunérations à partir du panel Dads.
Les allégements de cotisations sociales patronales sur les bas salaires, instaurés en 1993 et progressivement étendus depuis, constituent aujourd’hui une composante majeure de la politique en faveur de l’emploi en France.
En 2007, 10 400 salariés du secteur privé sont entrés dans un dispositif de préretraite publique, soit un recul de 21 % par rapport à 2006.
Fin janvier 2009, 2 204 500 demandeurs d’emploi sont inscrits en catégorie 1.
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Dans un plan de sondage stratifié, l’allocation de Neyman est une méthode souvent utilisée pour échantillonner les enquêtes. Elle estime avec la plus grande précision possible, la moyenne d’une variable d’intérêt sur l’ensemble de la population étudiée.