Former les demandeurs d'emploi à se former
- 17 décembre 2021
- Document d'études N°256
Cette étude propose une évaluation de l’impact du dispositif "Prépa compétences" sur l’entrée en formation et l’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi.
17 résultats
Cette étude propose une évaluation de l’impact du dispositif "Prépa compétences" sur l’entrée en formation et l’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi.
La Dares et l’Association Française des Managers de la Diversité (AFMD) ont organisé une webconférence pour rendre compte de la mise en œuvre de l’Index de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes trois ans après son entrée en vigueur.
Pour une majorité des personnes en recherche d’emploi ayant suivi une formation en 2019, cette dernière a été l’occasion d’acquérir non seulement des compétences techniques spécialisées, mais également des compétences plus transversales.
Parmi les apprentis de niveau CAP à BTS en dernière année d’un cycle d’études professionnelles en 2019-2020, 38 % sont toujours en formation l’année scolaire suivante. Cette proportion est en hausse de 4 points par rapport à la génération précédente inscrite en 2018-2019.
Sous la houlette du comité scientifique du Plan d’Investissement dans les Compétences, la Dares lance la quatrième édition de l’appel à projets de recherche portant sur la formation professionnelle des personnes en recherche d’emploi.
Les inégalités entre les femmes et les hommes sont un trait marquant du marché du travail : elles se traduisent par une moindre participation des femmes, des rémunérations inférieures à celles des hommes, ou encore des trajectoires professionnelles moins ascendantes.
En juillet 2020, un an après leur sortie d’études à l’été 2019, 65 % des apprentis ont un emploi salarié dans le secteur privé en France, contre 62 % en janvier 2020, 6 mois après la sortie.
Expérience, motivation, compétence, disponibilité... Quels critères de sélection pour les hommes et pour les femmes lors du recrutement ?
Hausse de 7 % de l'emploi en CDI ou CDD long chez les jeunes de 22 à 25 ans avec l'aide à l'embauches de jeunes (AEJ).
Une recruteuse embauche davantage de femmes qu’un recruteur (51 % contre 41 %).