La conjoncture régionale
- 14 juin 2018
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Entre août 2005 et juin 2008, le « contrat nouvelles embauches » (CNE) a constitué une nouvelle modalité de recrutement pour les entreprises ou associations comptant au plus vingt salariés.
Le salarié à temps partiel type : une femme employée dans les services.
La reprise de l’emploi s’est traduite par une forte progression des embauches, bénéfique pour les jeunes les plus récemment sortis de l’école.
En 1998, les employeurs utilisateurs du programme « nouveaux services-emplois jeunes » déclarent ne pas avoir rencontré de difficultés majeures à faire accepter leur projet par les services instructeurs, ou lors des recrutements.
En 1996, le suivi d’une cohorte de chômeurs dans huit zones d’emploi montre que si l’âge, la qualification et le sexe demeurent fortement discriminants dans le processus d’insertion ou de réinsertion professionnelle, l’importance de ces facteurs varie selon le marché local de l’emploi.
Les évolutions de l’emploi et du chômage observées au cours du premier trimestre de 1998 prolongent celles relatives au trimestre précédent, confirmant ainsi l’amélioration de la situation du marché du travail.
L'essoufflement de la reprise de l'activité économique, observé au cours de l'année 1995, s'est traduit par des résultats médiocres en matière d'emploi en 1996 : en un an, les effectifs occupés diminuent d'environ 60 000 et le nombre des demandeurs d'emploi augmente de 90 000.
Au premier trimestre 1996, la situation du marché du travail reste difficile : en raison de l'essoufflement de la reprise de l'activité économique, l'emploi salarié privé stagne. Le nombre d'entrées dans les dispositifs de la politique de l'emploi, notamment les CES, a baissé.
Avoir ou non l'allocation d'insertion ne serait ni un atout ni un handicap majeur pour la reprise d'emploi. Au moment de l'enquête en juillet 1992, près d'un jeune sur cinq est sorti de l'ANPE pour prendre un emploi qu'il ait bénéficié ou non de l'allocation d'insertion.