La conjoncture régionale
- 14 juin 2018
- Trimestrielles
- Régionales
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En 2014, dans un contexte de croissance économique modérée, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’élève à 31,6 milliards d’euros.
Les objectifs régionaux d’embauches en contrats aidés sont très encadrés au niveau national, mais leur pilotage est largement territorialisé et leur mise en oeuvre est le fait des services déconcentrés du ministère chargé de l’emploi.
Selon une enquête menée en 2009 par la Dares auprès de demandeurs d’emploi ayant débuté une formation en 2006, 38 % étaient en emploi un mois après la fin de leur formation, 56 % six mois après et 64 % dix-huit mois après.
En 2000, les 921 organismes prestataires de bilans de compétences inscrits dans Ie répertoire des organismes actifs ont produit 78 788 bilans pour un chiffre d'affaires de plus de 51 millions d'euros.
À partir de 1999, la territorialisation s'élargit et devient une démarche stratégique des politiques de l'emploi.
La reprise de l’emploi s’est traduite par une forte progression des embauches, bénéfique pour les jeunes les plus récemment sortis de l’école.
En 2001, les politiques de l’emploi ont contribué, par le jeu d’incitations ou de dispositions contraignantes, au développement d’activités exercées de façon temporaire (et/ou à temps partiel) par des chômeurs.
En 1998, les employeurs utilisateurs du programme « nouveaux services-emplois jeunes » déclarent ne pas avoir rencontré de difficultés majeures à faire accepter leur projet par les services instructeurs, ou lors des recrutements.
En 1996, le suivi d’une cohorte de chômeurs dans huit zones d’emploi montre que si l’âge, la qualification et le sexe demeurent fortement discriminants dans le processus d’insertion ou de réinsertion professionnelle, l’importance de ces facteurs varie selon le marché local de l’emploi.