L'emploi salarié
- 7 septembre 2023
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Au deuxième trimestre 2023, l’emploi salarié est quasi stable (+0,1 %), après avoir augmenté de 0,4 % au trimestre précédent.
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Au deuxième trimestre 2023, l’emploi salarié est quasi stable (+0,1 %), après avoir augmenté de 0,4 % au trimestre précédent.
Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires... Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 2e trimestre 2023.
Les sortants précoces du système scolaire rencontrent de plus en plus de difficultés d’insertion sur le marché du travail au fil des générations.
Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires... Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 1er trimestre 2023.
Les effets de la transition écologique sur le niveau agrégé d’emploi seront relativement faibles. Toutefois, la transition devrait s’accompagner d’une réallocation relativement importante de la main-d’œuvre à la fois entre secteurs et au sein des secteurs clés de la transition.
Alors que l’emploi salarié hors apprentis dans le commerce de détail suivait jusque-là une évolution voisine de celle de l’ensemble du secteur privé, ça n’est plus le cas en 2022 où il recule, dans un contexte de forte inflation et de modification structurelle des habitudes de consommation.
En 2019, 39 000 établissements recourent toute l’année à des contrats courts (i. e. d’au plus 31 jours). Une partie de ces contrats pourraient être transformés en CDI ou CDD d’un an pour un volume équivalent à 235 000 emplois de 5 jours par semaine.
En 2019, 37 % des entreprises du secteur privé concluent 31,3 millions de contrats courts, c’est-à-dire des contrats d'au plus 31 jours (contrats à durée déterminée ou missions d'intérim). Ces contrats représentent 750 000 salariés en équivalent temps plein.
Sur les trente dernières années, la part des ménages sans emploi croît de façon quasi continue, alors que, jusqu’en 2008, la proportion de personnes sans emploi dans la population en âge de travailler diminue sous l’effet de la hausse de l’emploi féminin.
La diminution de la taille des ménages constitue le principal facteur d’augmentation de la part des ménages sans emploi : elle y contribue pour 1,3 point entre 1990 et 2001, 0,6 point entre 2001 et 2009 et 1,0 point entre 2009 et 2019.