Les mouvements de main-d’œuvre des salariés du privé
- 9 janvier 2024
6 338 200 embauches, 539 800 démissions, 240 500 licenciements et 288 400 fins de période d’essai, au 2e trimestre 2023 en France métropolitaine.
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6 338 200 embauches, 539 800 démissions, 240 500 licenciements et 288 400 fins de période d’essai, au 2e trimestre 2023 en France métropolitaine.
Les séries trimestrielles et annuelles des mouvements de main-d'œuvre, basées sur les déclarations des établissements de France métropolitaine du champ privé hors agriculture, hors contrats intérimaires et hors particuliers employeurs.
Au 3e trimestre 2023, en France métropolitaine, 6 386 300 contrats de travail sont signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit 0,1 % de plus qu’au trimestre précédent (après −1,0 % au 2e trimestre 2023).
Au 3e trimestre 2023, on compte 517 900 démissions de CDI en France métropolitaine (secteur privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit +4,8 % sur un trimestre. Il y a 566 300 démissions (+4,1 %) en tenant compte des ruptures anticipées autorisées d’un CDD.
Au 3e trimestre 2023, 240 500 licenciements ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs (−1,8 % par rapport au trimestre précédent), dont 20 300 licenciements pour motif économique (−0,1 %) et 220 200 licenciements pour un motif autre qu’économique (−2,0 %).
Au 3e trimestre 2023, 287 800 fins de période d’essai ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs (−0,1 % par rapport au trimestre précédent).
Au 3e trimestre 2023, 130 100 ruptures conventionnelles ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture et particuliers employeurs (+1,9 % par rapport au trimestre précédent).
Une datavisualisation pour connaître les postes à pourvoir par métier, au niveau national et dans chacune des régions, ainsi que la dynamique d'emploi par secteur d'activité, d'ici à 2030.
En 2021, le nombre de journées individuelles non travaillées (JINT) pour fait de grève diminue de 13 % par rapport à l’année précédente, pour atteindre 58 jours pour 1 000 salariés.
La Dares contribue chaque année à l'annexe au projet de loi de finances consacrée à la formation professionnelle. Le "jaune budgétaire" présente les principales données financières et physiques relatives aux actions de formation professionnelle, quels qu’en soient les dispositifs, les financeurs et les bénéficiaires.