Un meilleur emploi grâce aux réseaux de relations pour les immigrés ?
- 29 juin 2018
- Document d'études N°222
Il est plus difficile pour les immigrés que pour les natifs de trouver un emploi dans leur pays d’accueil.
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Il est plus difficile pour les immigrés que pour les natifs de trouver un emploi dans leur pays d’accueil.
Un accès à la formation qui décroît dès 35 ans pour les ouvriers et les employés.
En 2013, 161 000 salariés ou anciens salariés du secteur privé de 55 ans ou plus sont entrés dans un dispositif public de cessation anticipée d’activité, en forte progression par rapport à 2012 (+54 %).
En 2013, près de la moitié des personnes âgées de 55 à 64 ans résidant en France métropolitaine sont actives : 45,6 % sont en emploi et 3,4 % au chômage, soit un taux de chômage de 7,0 %.
En 2009, 56,9 % des personnes âgées de 50 à 64 ans sont actives, en emploi ou au chômage, en France métropolitaine.
En 2006, dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel et des hôpitaux publics, 96 % des salariés sont de nationalité française.
Au cours de l’année 2008, 8 260 personnes du secteur privé sont entrées dans un dispositif de préretraite publique, en France métropolitaine, soit un recul de 21 % par rapport à 2007.
En 2007, 10 400 salariés du secteur privé sont entrés dans un dispositif de préretraite publique, soit un recul de 21 % par rapport à 2006.
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Du début de l’année 2005 à la fin de 2007, l’emploi a fortement progressé.