Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en novembre 2021
- 23 décembre 2021
- Covid-19
En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
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En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
Dans un contexte de diminution du nombre de médecins du travail, les visites de suivi des salariés du privé par les services de santé au travail sont devenues moins fréquentes.
En 2017, 12,6 % des ménages emploient une personne à domicile, soit un peu moins qu’en 2011 (13,2 %). Néanmoins de plus en plus de ménages déclarent le recours à ces services aux impôts.
En octobre, le recours au chômage partiel diminue : 400 000 salariés auraient effectivement été en activité partielle au cours du mois d’octobre (soit 2 % des salariés du privé).
Avec la crise, le nombre d’accords de performance collective (APC) augmente nettement. Cette hausse repose sur les unités (entreprises, groupes,...) aguerries au dialogue social. Les accords s’adaptent à l’urgence de la crise sanitaire et se démarquent de ceux conclus auparavant.
Le recours au chômage partiel se stabilise en septembre : 520 000 salariés auraient effectivement été en activité partielle au cours du mois (soit 3 % des salariés du privé).
Huit rapports d'études pour mieux comprendre des conséquences de la crise sur le développement des compétences, le système et le marché de la formation professionnelle ainsi que sur le modèle pédagogique et les pratiques des organismes de formation.
L'Association de recherche et d'échanges en anthropologie et sociologie (Areas) a conduit un travail d’investigation sociologique auprès de MFR, qui dispensent des formations professionnelles continues, dans le domaine du “care”- secteur particulièrement impacté.
Le Centre lillois d'études et de recherches sociologiques et économiques (Clersé) questionne le rôle que jouent les compétences et les moyens de les acquérir pendant la crise sanitaire.
Le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) observe dans quelle mesure la formation pourrait-elle être un moyen d’amortir les conséquences de la crise sanitaire dans le secteur du tourisme.