Le travail en horaires atypiques en 2021
- 27 octobre 2022
- Dares Résultats N°52
10,4 millions de salariés et 2,7 millions de non-salariés travaillent en moyenne au moins une fois, sur une période de quatre semaines, en horaire atypique en 2021.
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10,4 millions de salariés et 2,7 millions de non-salariés travaillent en moyenne au moins une fois, sur une période de quatre semaines, en horaire atypique en 2021.
De début 2017 à mi-2019, le nombre de personnes indemnisables est resté stable autour de 4,3 millions. Il baisse ensuite jusqu’à 4,2 millions en février 2020. Avec la crise sanitaire, il remonte nettement, pour atteindre à 4,6 millions.
Cette étude propose d’identifier les risques psychosociaux des salariées des métiers de l’aide à domicile relativement aux autres salariées.
En septembre, la reprise peine à s’installer.
Ce document décrit les méthodes retenues pour le calcul des pondérations du volet « individus » et du volet « employeurs » de l’enquête Conditions de travail et Risques psychosociaux 2016.
Les contraintes organisationnelles et relationnelles regroupent les caractéristiques du temps de travail, les contraintes de rythme de travail, l’autonomie et les marges d’initiative, le collectif de travail et les contacts avec le public.
L’enquête visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits…
En France, les ouvriers intérimaires, qui représentent la majorité des personnes en intérim et 8 % des ouvriers, sont très fortement exposés à des contraintes physiques dans leur travail.
En 2014, 1,4 million de personnes sont pluriactives, c’est-à-dire qu’elles déclarent simultanément travailler pour plusieurs employeurs ou exercer plusieurs professions. Parmi elles 1,2 million sont salariées dans leur profession principale.
177 300 embauches en contrat de professionnalisation ont eu lieu en 2014 dans l’ensemble des secteurs, soit une hausse de 3 % après une baisse de 3 % entre 2012 et 2013.