La garantie jeunes : quels jeunes et quel bilan après cinq ans ?
- 17 avril 2019
- Dares Analyses N°018
29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.
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29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.
Dans le cadre du plan d’urgence pour l’emploi des jeunes, les employeurs ont pu bénéficier d’une prime de 3000 euros pour l’embauche de jeunes stagiaires en contrat à durée indéterminée, lorsque la date d’embauche était comprise entre fin avril 2009 et fin juin 2010.
En 2010, 148 000 nouveaux contrats de professionnalisation ont été comptabilisés, soit une hausse de 1 % en un an.
L'enquête permet de mieux comprendre le passage en dispositif et les modalités d’accompagnement et de décrire la trajectoire professionnelle des signataires et leurs caractéristiques sociodémographiques.
L’enquête visait à retracer les trajectoires professionnelles des personnes passées par des dispositifs de la politique de l’emploi à la fin des années 90 et d'évaluer l'efficacité des contrats aidés ou stages de formation.
En 2007, 175 000 jeunes habitant en zone urbaine sensible (ZUS) ont été reçus en entretien individuel par un conseiller du réseau des missions locales, soit 18 % de l’ensemble des jeunes reçus par les missions locales.
De l'été 2002 à la fin janvier 2003, 50 000 demandes de conventions de Contrat Jeune en Entreprise (CJE) ont été déposées auprès des ASSEDIC et 45 875 ont d'ores et déjà été traitées.
Les entrées dans le programme « nouveaux services-emplois jeunes » et dans les dispositifs de formation en alternance se sont nettement ralenties en 2001.
Dans les premières années qui suivent la sortie du système éducatif, l'insertion des jeunes européens dans l'emploi est progressive et fluctue beaucoup avec la conjoncture.
En 2000, dans un contexte de fort recul du chômage, la politique spécifique de l'emploi s'est traduite par une baisse des entrées dans les dispositifs et du nombre de leurs bénéficiaires.