Les mouvements de main-d’œuvre des salariés du privé
- 11 avril 2024
6 371 000 embauches, 544 900 démissions, 230 400 licenciements et 297 800 fins de période d’essai, au 4e trimestre 2023 en France métropolitaine.
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6 371 000 embauches, 544 900 démissions, 230 400 licenciements et 297 800 fins de période d’essai, au 4e trimestre 2023 en France métropolitaine.
Au 4e trimestre 2023, en France métropolitaine, 6 371 000 contrats de travail sont signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit 0,3 % de moins qu’au trimestre précédent (après +0,1 % au 3e trimestre 2023).
Le marché de l'emploi français subit des secousses post-crise, avec une augmentation significative des ruptures de contrats à durée indéterminée (CDI) pendant la période d'essai.
En moyenne entre 2014 et 2020, au cours des quatre premières années à l’issue des études, le taux d’emploi des personnes sorties à 16 ans ou moins du système scolaire croît nettement plus lentement que celui des sortants à partir de 17 ans.
Si la plupart des jeunes commencent leur carrière professionnelle après avoir terminé leurs études, une partie l’a amorcée avant, en cumulant emploi et études.
9 jeunes sortants de la voie professionnelle sur 10 sont exposés à au moins un risque physique ou chimique sur leur poste de travail, et 6 sur 10 à trois de ces risques ou plus, en 2017.
Au 3e trimestre 2023, en France métropolitaine, 6 386 300 contrats de travail sont signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit 0,1 % de plus qu’au trimestre précédent (après −1,0 % au 2e trimestre 2023).
Au 3e trimestre 2023, les fins de CDI s’établissent à 22 % au-dessus de leur niveau d’avant-crise dans les Ehpad privés, 15 % pour les hôpitaux privés et 18 % dans le secteur privé pris dans son ensemble.
Sur l’ensemble de l’année 2022, hors transport routier, 223 300 salariés sont détachés au moins une fois en France par des entreprises étrangères établies à l’étranger et effectuent 646 900 détachements.
Parmi les apprentis inscrits en dernière année d’une formation de niveau CAP à BTS en 2021-2022, 38 % sont encore en études l’année scolaire suivante, pour l’essentiel à nouveau dans le cadre d’une formation en apprentissage.