L'emploi intérimaire diminue au 3e trimestre 2018
- 11 décembre 2018
- Dares Indicateurs N°057
Au 3e trimestre 2018, l’emploi intérimaire diminue de nouveau (-1,2 % soit -9 600 intérimaires, après -0,6 % au trimestre précédent soit -4 700).
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Au 3e trimestre 2018, l’emploi intérimaire diminue de nouveau (-1,2 % soit -9 600 intérimaires, après -0,6 % au trimestre précédent soit -4 700).
Entre 2010 et 2015, 22 % des personnes en emploi ont changé de métier. Ces changements sont plus fréquents parmi les jeunes : ils concernent un tiers des 20-29 ans.
En France, les ouvriers intérimaires, qui représentent la majorité des personnes en intérim et 8 % des ouvriers, sont très fortement exposés à des contraintes physiques dans leur travail.
Ces donnes présentent le nombre de jeunes de moins de 26 ans présents au 31 décembre de chaque année, depuis 1974, dans les différents contrats aidés (apprentissage, contrats de professionnalisation, contrats de qualification, CUI-CIE, emplois d'avenir marchands etc.).
Lors des Rendez-vous de Grenelle du 11 septembre 2018, Selma Mahfouz, directrice de la Dares, a présenté un focus sur le recours aux contrats temporaires (CDD, intérim) en 2017.
L’emploi intérimaire diminue légèrement au 2e trimestre 2018 (-0,4 % soit -2 900 intérimaires, après +0,3 % au trimestre précédent soit +2 300).
Les structures du secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) sont spécialisées dans l’accueil des personnes en difficulté auxquelles elles proposent un emploi associé à un accompagnement social et professionnel personnalisé.
Depuis le début de la décennie 2000, pouvoirs publics et partenaires sociaux ont pris de nombreuses mesures pour inciter au maintien des seniors en activité.
Jusque mi-2015, les statistiques de mouvements de main-d’œuvre étaient élaborées à partir de deux sources : une déclaration mensuelle pour les établissements de plus de 50 salariés (DMMO) et une enquête trimestrielle pour les établissements de moins de 50 salariés (EMMO).
En constante progression depuis la fin des années 1990, l’usage des outils informatiques, messageries et réseaux continue de se généraliser dans le quotidien d’une majorité de salariés, s’accompagnant de modifications notables sur leurs conditions de travail.