Quantifier le non-recours à l’assurance chômage
- 6 octobre 2022
- Document d'études N°263
Entre 25 % et 42 % des salariés éligibles ne recourent pas à l’assurance chômage, un taux comparable à celui observé sur d’autres prestations sociales.
35 résultats
Entre 25 % et 42 % des salariés éligibles ne recourent pas à l’assurance chômage, un taux comparable à celui observé sur d’autres prestations sociales.
Cette étude s’intéresse à l’évolution des écarts salariaux entre descendants d’immigrés et population sans ascendance migratoire en France.
Un modèle de microsimulation visant à obtenir une projection des dépenses de formations financées par le CPF (hors fonction publique) a été développé par la Dares en collaboration avec la Caisse des dépôts.
En France, hors professions médicales, ce sont 4,6 millions de salariés du secteur privé, appartenant à 17 professions, qui ont continué à travailler sur site durant la crise sanitaire pour continuer à apporter les services indispensables à la vie quotidienne.
En moyenne en 2017 et en France métropolitaine, 2,6 millions de personnes de 15 à 64 ans sont au chômage au sens du Bureau international du travail (BIT) et 3,4 millions sont inscrites à Pôle emploi en catégorie A.
Les trajectoires salariales des individus rémunérés au voisinage du Smic constituent une question centrale pour la dynamique salariale en général et pour le pilotage du salaire minimum en particulier.
La sociabilité hors du groupe d’origine est un vecteur important d’intégration à la société d’accueil pour les populations d’origine étrangère.
Ce document d’études propose dans un premier temps un état des lieux du recours à l’activité réduite, en exploitant des données issues du système d’information de Pôle emploi. Il présente ensuite un panorama des trajectoires des demandeurs d’emploi en activité réduite.
Les résultats ne mettent pas en évidence d’effet significatif du CICE sur la dynamique des salaires de base depuis 2013 (que ce soit au niveau de l’entreprise ou par catégorie socioprofessionnelle).
Les écarts de salaires femmes-hommes sont très différents d’une zone d’emploi à l’autre (1,6 % à 26,9 % en faveur des hommes en 2010).