La structure des rémunérations en 2010
- 24 septembre 2012
- Dares Analyses N°063
Les primes représentent en moyenne 12,9 % de la rémunération dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé.
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Les primes représentent en moyenne 12,9 % de la rémunération dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé.
En 2008, dans le secteur privé et semi public, la rémunération brute mensuelle moyenne d’un salarié à temps complet s’est élevée à 2 753 euros (+3,4 % par rapport à 2007) et le salaire moyen net de tous prélèvements sociaux à 2 069 euros (+3,6 %).
La dispersion des salaires nets des salariés à temps complet du secteur privé hors intérim a légèrement diminué entre 1996 et 2004.
Dans la première partie des années 2000, les augmentations de rémunération salariale font plus fréquemment appel aux primes, notamment aux primes de performance collective.
En 1999, le contrat de qualification à destination des jeunes de moins de 26 ans permet aux entreprises de construire les compétences adaptées à leurs attentes ou d’introduire dans leur collectif de travail des compétences nouvelles.
En 1998, fonction publique mise à part, le nombre de jours de grève diminue par rapport à l’année précédente, pour atteindre 353 000, le plus bas niveau observé depuis plus de vingt ans.
En dépit d’un léger ralentissement des créations d’emplois, le second trimestre 1998 reste bien orienté du point de vue de l’évolution de la situation du marché du travail.
En 1996, un peu plus de deux ans après leur entrée en contrat de qualification, 61,8 des jeunes ont obtenu un diplôme ou une validation de leur formation.
En 1997, près de 30 milliards de francs ont été attribués au titre de la participation (17,3 milliards de francs) ou de l’intéressement (12,5 milliards de francs).
En 1997, environ 77 000 salariés ont été recrutés au titre de l’exonération de charges sociales patronales pour l’embauche d’un premier salarié (soit environ 5 % de plus qu’en 1996).