Le contrat de professionnalisation en 2011
- 15 mars 2012
- Dares Analyses N°021
En 2011, 173 000 nouveaux contrats de professionnalisation ont été comptabilisés, soit une hausse de 17 % en un an.
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En 2011, 173 000 nouveaux contrats de professionnalisation ont été comptabilisés, soit une hausse de 17 % en un an.
En 2003, l’activité des organismes de formation continue reste soutenue : leur chiffre d’affaires progresse de 10 % et le nombre de stagiaires de 9 %. Les entreprises et les pouvoirs publics apportent deux tiers des financements.
La dépense globale de la Nation en faveur de la formation professionnelle continue et l’apprentissage a augmenté de 1,8 % en 2003.
Depuis le lancement du programme, plus de 285 000 jeunes ont été embauchés.
La reprise de l’emploi s’est traduite par une forte progression des embauches, bénéfique pour les jeunes les plus récemment sortis de l’école.
La loi de 1971 a instauré une obligation de participation des employeurs au financement de la formation professionnelle continue pour les entreprises de 10 salariés ou plus, correspondant à 1,5 % de la masse salariale.
En 1999, le contrat de qualification à destination des jeunes de moins de 26 ans permet aux entreprises de construire les compétences adaptées à leurs attentes ou d’introduire dans leur collectif de travail des compétences nouvelles.
Ensemble, les entreprises des trois grands secteurs – tertiaire, industrie, construction – ont créé 122 000 emplois au dernier trimestre 1999, soit plus que durant chacun des autres trimestres de l’année.
En 1996, un peu plus de deux ans après leur entrée en contrat de qualification, 61,8 des jeunes ont obtenu un diplôme ou une validation de leur formation.
En 1996, le suivi d’une cohorte de chômeurs dans huit zones d’emploi montre que si l’âge, la qualification et le sexe demeurent fortement discriminants dans le processus d’insertion ou de réinsertion professionnelle, l’importance de ces facteurs varie selon le marché local de l’emploi.