En 1992, un peu plus d'un tiers des salariés avaient perçu des primes liées à leurs performances individuelles ou à une performance globale de leur entreprise.
L'inégale diffusion de ces primes dépend de plusieurs facteurs, et d'abord des pratiques des employeurs : cette année-là, près de deux établissements sur cinq déclarent verser sous cette forme une partie de la rémunéra- tion. Les cadres et les ouvriers qualifiés sont les deux catégories professionnelles qui bénéficient le plus de ces primes.
Pour les salariés qui les perçoivent, elles représentent en moyenne environ 7 % de leur rémunération annuelle brute. C'est pour les employés des secteurs du commerce et des services aux particuliers que ces primes représentent la plus forte part de leur rémunération.
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