2,3 millions de personnes ont bénéficié d’une de ces mesures, contre 2,4 millions en 1996.
Ce recul global recouvre des évolutions divergentes des différentes catégories de dispositifs. Le nombre de jeunes recrutés dans le cadre des mesures d’alternance a sensiblement augmenté. Il en est de même des embauches ou des transformations d’emplois intervenues sous le régime de l’abattement des charges sociales au titre de l’emploi à temps partiel. Le lancement du programme « nouveaux services, nouveaux emplois » a permis de stabiliser les entrées dans les dispositifs d’emploi aidé du secteur non marchand malgré le recul du nombre des contrats emploi-solidarité. Les entrées dans les autres mesures ont reculé, notamment pour ce qui est des actions d’insertion et de formation des adultes et des mesures d’accompagnement des restructurations.
L’année 1997 a vu, par ailleurs, la consolidation du rôle des dispositifs généraux d’allégement du coût salarial comme une des composantes majeures de la politique de l’emploi. L’aménagement-réduction du temps de travail a également contribué à la réduction du nombre de licenciements économiques et à la création d’emplois.
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